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Centre d'Excellence

PRESENTATION DU CEA-CCBAD
L’initiative régionale du projet CEA a été lancée en 2013 pour soutenir le changement et l’amélioration en matière de développement du capital humain dans la région. Introduit avec succès dans 08 pays de l’Afrique occidentale et centrale avec un investissement de 150 millions de dollars US approuvé par l’IDA en avril 2014, le projet CEA est représenté aujourd’hui dans Dix-neuf (19) pays dont la Côte d’Ivoire.
Le principal objectif du Projet CEA est de répondre à la demande du marché du travail en matière de compétences dans des domaines spécifiques où celles-ci sont limitées, affectant le développement, la croissance économique et la réduction de la pauvreté. Les besoins et pénuries de compétences sont mesurés par le taux de chômage des diplômés des établissements soutenus. En outre, le projet CEA est conçu pour investir dans les universités performantes qui souhaite ce type d’intervention, l’objectif ultime étant de construire une fondation pour l’Afrique permettant d’augmenter l’absorption de connaissances et de technologies, et de favoriser les avantages compétitifs fondés sur les connaissances. L’ajout de la Côte d’Ivoire au projet à travers le FC proposé répond à la demande formulée par le Gouvernement de Côte d’Ivoire, et repose sur le potentiel des institutions choisies à devenir des centres régionaux rapprochant leur éducation et recherche avec les besoins de développement de la région.
La forte demande du Gouvernement de Côte d’Ivoire qui a mis l’accent sur l’enseignement supérieur et l’inclusion de nouveaux domaines prioritaires pour la formation professionnelle dans les résultats du projet CEA créent une situation gagnant-gagnant aux niveaux régional et national. Le soutien du FC proposé pour les centres d’excellence africains en Côte d’Ivoire permet de : (i) développer une expertise régionale pour répondre aux besoins en compétences essentielles qui ne sont pas ciblés dans la phase 1 du Projet CEA en raison de la faible qualité des propositions et des capacités réduites des institutions, et dans les centres du pays dont le potentiel d’excellence est évident (changement climatique, extraction minière et statistiques) ; et (ii) de compléter la stratégie sur l’enseignement supérieur développée en Côte d’Ivoire.
Le CEA sur le changement climatique se concentre sur la formation de diplômés sur les questions liées aux écosystèmes, la biodiversité, la production alimentaire, l’eau, et la foresterie productive et durable dans le contexte de changement climatique affectant la région. Cela comprend la formation de diplômés et la production de connaissances en lien avec : (i) (la protection des ressources en eau, la lutte contre l’érosion des sols, la protection et meilleure utilisation de la biodiversité, l’adoption des projets de cultures de résistance, la protection de la production forestière à travers, par exemple, les pollinisateurs. Le centre forme des diplômés sur des sujets interdisciplinaires afin qu’ils soient en mesure de travailler avec l’ensemble des acteurs du secteur.
Le Centre d’Excellence Africain sur les Changements Climatiques la Biodiversité et l’Agriculture Durable de l’Université Félix Houphouët Boigny (UFHB) vise principalement la formation des étudiants de troisième cycle. Il met l’accent sur la biodiversité, et fait partie d’un réseau régional préexistant de 10 institutions axé sur le changement climatique (WASCAL).
 
  • L’ECOLE DOCTORALE WASCAL

    Le Centre Ouest Africain de Service Scientifique sur le Changement Climatique et l’Utilisation Adaptée des Terres (WASCAL) est un centre international/inter-gouvernemental placé sous l’égide de la Communauté Economique des Etats d’Afrique de l'Ouest (CEDEAO).

    Sa mission est de fournir des informations et des connaissances susceptibles de permettre à ses Etats membres d’Afrique de l'Ouest de gérer durablement les effets néfastes du changement climatique aux niveaux local, national et régional. Cette mission se fait à travers le renforcement des capacités, la formation des cadres ouest africains ainsi que la génération et la diffusion des technologies appropriées en vue de faire face à la variabilité du climat et aux changements climatiques, en particulier à travers l'utilisation adaptées des terres.

    Le programme de doctorat en changement climatique et biodiversité fait partie des programmes d'études supérieures de WASCAL coordonné par son département de renforcement des capacités situé au siège de WASCAL à Accra, Ghana. Ce programme financé par l’Allemagne a démarré en octobre 2011. Il s’agit d’un programme de formation interdisciplinaire efficace et durable qui coordonne les efforts entrepris par les institutions de onze pays (à savoir les dix (10) pays ouest africains partenaires de WASCAL et l’Allemagne).

    L’Ecole doctorale WASCAL abrite dix (10) Programmes dont six (06) de Recherche Doctorale et quatre (04) de Maîtrise qui sont mis en œuvre dans les pays d’Afrique de l’Ouest.

    Pour le compte de la Côte d’Ivoire, c’est l’Université Félix Houphouët Boigny qui abrite l’école doctorale qui est l’une des institutions des plus en pointe de la côte d’ivoire dans le domaine de la biodiversité.

    Créée en 2012 par la Présidente de l’Université Félix Houphouët-Boigny, l’école doctorale WASCAL a été acceptée comme Centre Africain d’Excellence sur le Changement Climatique, la Biodiversité et l’Agriculture Durable. A ce titre, elle bénéficie d’un soutien financier de la Banque Mondiale sur 4 ans pour atteindre l’Excellence en Renforcement de Capacité, en Recherche et Service à la Communauté.

     

    DEFIS ET OBJECTIFS DU CEA-CCBAD

     

  • L’enseignement supérieur a été indiqué comme une voie de promotion du développement économique pouvant créée un environnement favorable à l’accroissement des ressources, à la génération de connaissances et de technologies.

    Le Centre d’Excellence de l’UFHB est une SOLUTION à l’atténuation des effets du Changement Climatique et d’une Agriculture Durable.

    Les solutions proposées, des stratégies à succès et à plusieurs axes notamment celles relatives au réchauffement climatique ont longtemps été :

    Le démarrage d’une révolution des énergies renouvelables,

  • La préservation des forêts existantes,

  • La réforme de l’agriculture.

  • A travers un réseau de partenaires étroitement liés le Centre d’Excellence Africain sur les changements climatiques, la biodiversité et l’agriculture durable œuvre pour :

    Le renforcement des capacités à travers la formation de compétences dans des secteurs vitaux pour l’humanité notamment orientés sur la préservation de la biodiversité et la sécurité alimentaire ;

  • La création de parcours intermédiaires complémentaires à celles existantes et orientées sur la biodiversité et l’agriculture ;

  • La formation d’une masse critique de diplômés en activité imprégnés de la problématique du changement climatique et pouvant servir d’interface pour sensibiliser les populations et les décideurs

  • Le développement de la recherche, sa dynamisation avec des équipements performants afin de constituer une plateforme de traitement et de valorisation ;

  • La construction d’infrastructures pour accroître les capacités d’accueil des doctorants et des chercheurs ;

  • Le renforcement de la plateforme d’innovation pour faciliter l’accès des connaissances aux utilisateurs afin d’impacter les résultats obtenus.

    • Le Centre d’Excellence permettra en outre :

      De ressortir la nécessité de protéger les ressources naturelles indispensables pour accroître les productions agricoles et cruciales pour la sécurité alimentaire

    • De générer des connaissances sur des pratiques durables et aussi la protection des bassins versants pour éviter les érosions et conserver l’eau

    • D’anticiper ou de faire face aux nuisibles des cultures qui émergent avec le changement climatique en protection des végétaux,

    • De générer des connaissances en synergie avec les populations, d’atteindre les objectifs du développement durable et d’atténuer les effets du changement climatique

  • De générer des ressources économiques importantes par augmentation des revenus des populations.

  • D’améliorer les stratégies de gestion des écosystèmes et la pratique de l’agroforesterie entrainant la diversification des apports nutritionnels, l’accroissement des rendements

  •  

    PLAN DE MISE EN ŒUVRE DU CEA-CCBAD

    AU NIVEAU DE L’ENSEIGNEMENT

    Renforcer l’offre de formation par la mise en place de nouvelles formations et spécialités et de nouveaux modules répondant aux besoins de la biodiversité et d’une agriculture durable ;

  • Diversifier l’offre de formation en construisant des parcours de cycles court, moyen et long tout en s’appuyant sur un réseau de partenaires académiques et institutionnels d’Afrique organisés en pôles de compétences autour du centre d’excellence ;

  • Intensifier l’accréditation des diplômes et des formations des différents partenaires pour une reconnaissance internationale

- Développer un programme de recherche/développement pluridisciplinaire et multi-institutionnels sur la restauration des écosystèmes terrestres, la gestion durable des forêts, pour mettre fin à l’appauvrissement de la biodiversité et réduire l’impact négatif du changement climatique sur celle-ci et l’agriculture.

 

AU NIVEAU DE LA RECHERCHE

Disposer d’une masse critique et compétitive d’enseignant-chercheurs, chercheurs et agents de développement africains de haut niveau dans le but d’informer, former et sensibiliser les populations, les décideurs, sur les causes et les conséquences du changement climatique et les mesures d’atténuation afin de préserver l’environnement pour une agriculture durable ;

- développer une recherche novatrice, génératrice de connaissances et de technologies adaptées pour ensuite les transmettre aux populations dans un contexte qui tienne compte des objectifs du développement durable ;

- susciter la recherche en partenariat axée sur la collaboration durable à travers des projets d’intérêts communs pour mutualiser les moyens et rendre ainsi plus efficace la recherche ;

- renforcer les capacités opérationnelles du service de la valorisation de la recherche par un partenariat solide avec les structures de recherche et de développement ;

- valoriser les résultats de la recherche par la diffusion de fiches techniques exploitables par les producteurs et l’organisation de séances de restitution des résultats à travers des plateformes impliquant toutes les parties prenantes (chercheurs, producteurs, bailleurs de fonds, autorités, agent de vulgarisation, ONGs) ;

- rédiger ou actualiser des ouvrages collectifs sur la biodiversité et les mécanismes physiologiques d’adaptation au changement climatique.

 

RENFORCER LES EQUIPEMENTS, ET PLATEFORMES SCIENTIFIQUES DU CCBAD ET DE SES PARTENAIRES

Les Institutions partenaires seront dotées d’espace de travail par des travaux de réhabilitation pour l’accueil des étudiants et des chercheurs en mobilité.

Afin de rendre plus original les résultats, les enseignants-chercheurs et les étudiants auront accès aux différents revues et journaux scientifiques spécialisés. Il s’agira à travers la souscription,

- d’accéder aux ressources bibliographiques et scientifiques internationales en ligne que sont les bases de données, les journaux et publications internationales, les opportunités de financements de projets et bourses de recherche et de travail et certaines sources de journaux comme Science Direct, Scopus et ResearchAfrica.

- de mettre à jour leurs connaissances scientifiques et de faciliter la rédaction d’articles scientifiques.

 

Le Centre d’Excellence sur les Changements Climatiques, la Biodiversité et l’Agriculture durable vise l’excellence dans la formation, la recherche et la gouvernance à travers la formation initiale et le renforcement des capacités des personnels administratifs et techniques ainsi que des enseignants-chercheurs. Les doctorants formés sur les changements climatiques d’abord car l’une des préoccupations est non seulement de collecter des données climatiques de qualité, de les mettre à disposition des producteurs et des développeurs pour des actions de production agricole et d’aménagement forestier. Les Masters pourront être utiles à ce point et les doctorants pourront sous la supervision des encadreurs via le réseau de partenariat faire des simulations et développer des modèles de prédiction pour certaines cultures dont les effets du changement climatique se font rapidement ressentir notamment le cotonnier commun à plusieurs pays, l’anacardier et même le cacaoyer dont certaines zones de productions nécessitent le déploiement de variétés adaptées à différents stress. La définition des thématiques de recherches sera mise en œuvre avec la collaboration de tous les acteurs partant des sociétés cotonnières et des producteurs d’anacarde vers les encadreurs et les chercheurs du Centre National de Recherche Agronomique et autres structure de recherche tous partenaire du Centre d’Excellence et qui ont participé aux dernières journées de consultations nationales. En développant des stratégies via la qualité de sa recherche, la Côte d’Ivoire voudrais contribuer à améliorer la qualité de vie des producteurs, réduire la déforestation des grande surface de culture en utilisant des pratiques durable de production agricole. En plus de ces formations diplomantes il sera important de procéder à des renforcements de capacité des acteurs sur les changements climatiques et ses conséquences afin de sensibiliser. A travers la diffusion de résultats et aussi la formation des doctorants des pays voisins sur les thématiques obtenus en collaboration avec les communautés.

 

Stratégies concernant le recrutement et de rétention des étudiants étrangers

La stratégie de recrutement et de motivation des étudiants sera axée sur la mise à disposition d’une offre de formation visible et attrayante. Ensuite l’accent sera mis sur l’accommodation, l’amélioration du cadre des apprenants par la mise à dispositions de moyens adéquats.

Le recrutement des étudiants se fait à partir d’appels à candidatures publiés sur le site de l’Université Félix Houphouët-Boigny et aussi envoyés aux partenaires en vue de leur publication sur leurs sites. Cette stratégie nous a permis, cette année, de recevoir 64 dossiers en PhD et 54 dossiers en Master en provenance de divers pays d’Afrique (Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Mali, Guinée, Sénégal, Tchad, Togo). Un jury sera chargé de statuer sur les dossiers de candidatures reçues.

Les étudiants étrangers bénéficieront, en dehors de la bourse, des frais de scolarité, des logements en cités universitaires, une couverture médicale, l’accès à internet et à la documentation scientifique. Les candidatures féminines ont été encouragées lors des appels à candidature pour inciter les femmes. Nous envisageons d’octroyer des bourses prioritairement aux femmes sélectionnées.

Les étudiants nationaux bénéficieront, en dehors de la bourse alignée sur la grille nationale, des frais de scolarité, une couverture médicale, l’accès à internet et à la documentation scientifique. Les candidatures féminines ont été encouragées lors des appels à candidature pour inciter les femmes. Nous envisageons d’octroyer des bourses prioritairement aux femmes sélectionnées.

 

Stratégies concernant les formations de courte durée

Elles seront axées sur la base 1) de commande de service (demand driven) faite par les filières de production au bénéfice des agents d’encadrements qui vont démultiplier ces formation auprès des producteurs pour impacter leur revenu ; 2) de renforcement des capacité des agents des ministères comme relevé lors de la consultation nationale ; 3) la formation de producteur dans les zones où l’encadrement fait défaut notamment sur l’usage sécurisé des pesticides. Avec la filière Anacarde cela été expérimenté et réussi car ce sont des agents du CCBAD qui ont défini la formation indiquée sur la reconnaissance des maladies et ravageurs de l’anacardier. D’autres formations sont prévues de même que des commandes de recherche qui seront confiées au CCBAD notamment sur la problématique liée au changement climatique. Es demande effectuées par les filières seront partagée par les producteurs des autres pays chez lesquels des formations seront envisagées pour mieux apprécier l‘impact. Il sera développé avec les partenaires afin de mieux cerner les besoins de formation.

Les programmes de formation doctorales, de master et de courte durée se feront avec un réseau de partenariat public privé et fera appel à plusieurs stratégies d’approches dans la définition des thématiques, la collecte des données et leur valorisation. Un atout important dans l’encadrement sera l’implication des partenaires stratégiques sur tous les axes que sont le changement climatique la biodiversité et l’agriculture durable. A niveau des systèmes climatiques, l’implication des structure venant de ICTP et autres institution au déploiement d’outils d’aide à la décision sur les changements climatiques. D’autres partenaires disposant de plateau technique spécifiques ou de machines adaptées seront sollicités pour une collaboration durable. En suite pour arriver à la Contribution Prévue Déterminée au niveau National prévue par la Côte d’ivoire à la CoP21, une collaboration a été envisagée avec L’institut des Sciences de l’Environnement du Sénégal (ISE) afin de réduire l’empreinte carbone de son développement en privilégiant des options d’atténuation. Il est prévue d’impliquer les populations (savoir locaux à améliorer) pour renforcer la résilience du pays aux changements climatiques. Au sein de l’Université une stratégie de reforestation sera adoptée avec les partenaires des autres pays pour la diffuser après. Il s’agit de la mise en place d’un centre de régénération et de conservation forestière. L’UFHB mettra à disposition du centre d’Excellence une portion d’espace suffisante pour la mise en œuvre de ce centre. Concernant l’Agriculture, l’un des événements souligné a été l’émergence de maladies et de ravageurs pour les cultures suite à l’adaptation de ces bio-agresseurs couplée d’une fragilisation des essences végétales suite au stress. Le développement de matériel végétal de qualité est une solution durable envisageable mais aussi le déploiement de bio pesticide, recherché dans tous les pays à cause des effets néfastes des pesticides de synthèse sur l’environnement. Le centre d’excellence développera à travers ses recherches des biopesticides pour un environnement moins pollué et moins de risques pour les producteurs afin de lutter efficacement contre les parasites et les ravageurs. Les biopesticides sont sollicités dans de nombreux pays qui craignent les risques liés à l’utilisation des produits de synthèse.

Une collaboration sera établie avec le Centre Universitaire de recherche en télédétection pour l’enseignement à distance et aussi l’utilisation des Moocs pour cerner à travers des vidéos présentant l’essence des cours.

Les programmes de formation du centre d’Excellence seront soumis à des évaluations selon les règles nationales et internationales. L’autoévaluation sera faite suivie d’une analyse des contraintes. Les nouveaux curricula ou les curricula revus seront soumis au conseil de l’université et après approbation, ils passeront par une évaluation selon les critères définis par le ministère de l’enseignement supérieur. Le processus d’accréditation internationale sera ensuite lancé pour obtenir une reconnaissance des diplômes afin de faciliter l’insertion des diplômés.

Pour atteindre ses objectifs le Centre doit disposer d’espace pour la recherche et aussi pour l’enseignement. Les doctorants devront bénéficier d’espace suffisant pour des recherches et aussi pour échanger entre eux sur des thématiques d’intérêt. Des équipements de pointe seront acquis et mis à la disposition des doctorants et aussi serviront à attirer des étudiants pour des stages de recherche de courte durée.

Méthodes d’apprentissage et d’identification des sujets de recherche des étudiants

La méthode d’enseignement sera basée sur la méthode participative qui consiste à traduire le cours en activités d’apprentissage et travaux personnels des apprenants dans laquelle l’enseignant est un facilitateur. Cette méthode d’enseignement permet à l’apprenant de construire sa connaissance en développant son savoir-faire afin d’inter-agir avec son environnement pour donner du sens à ses expériences et développer ses représentations.

Dans le CCBAD, l’apprenant passera par une phase d’immersion en situation réelle (communautés rurales, organisations professionnelles agricoles, parcs et réserves etc.) en intégrant les objectifs des plans nationaux de développement et des consultations nationales pour la définition de son thème de recherche.

 

4.1. Axes de recherche

Axe 1: Changement climatique et services connexes

1.1 Systèmes climatiques régionaux

1.2 Impacts et adaptations

 

Axe 2: Diversité biologique et services écosystémiques

2.1 Gestion rationnelle et valorisation des terres

2.2 Conservation et valorisation de la diversité biologique

 

Axe 3: Systèmes agricoles durables

3.1 Marchés et gestion du carbone

3.2 Economie verte et rentabilité économique des systèmes agricoles

3.3 Ecosystèmes, agriculture et risques

 

Axe 4. Gestion des risques et politiques d’adaptation

4.1 Dynamiques des populations face au changement climatique

4.2 Impacts de la variabilité climatique sur les marchés locaux

4.3 Evaluation, analyse et gestion des risques

 

4.2. Sites de recherche

Les activités de recherches au niveau du CEA CCBAD auront lieu sur tout le territoire ivoirien et dans les pays partenaires de la sous-région. Toutefois, les principaux sites de recherches sont au nombre de 4 dont 1) le Parc National de Taï, proche du Libéria, au Sud-Ouest, Patrimoine mondial de l’UNESCO, situé en zone de forêt dense humide, 2) la Réserve de Lamto, située au Centre-Sud, dans la région de Toumodi, en zone de contact entre la forêt dense humide et la savane, 3) le Parc National de la Comoé, situé au Nord-Est, dans la région de Bouna, Patrimoine de l’UNESCO et 4) la Réserve de Nambekaha, située au Nord-Ouest, dans la région de Boundiali. Les 2 derniers sites sont localisés dans la zone de savane. Le choix de ces 4 sites repose sur le fait qu’ils représentent les principaux types de climats et aussi situés dans les 4 principaux types de végétation en Côte d’Ivoire. Ces sites ont fait l’objet de choix et de validation par les différents pays couverts par Wascal à la suite d’une rencontre en 2013 au Centre de Compétence de Wascal au Burkina Faso. En plus de ces sites principaux de recherche, d’autres d’applications seront choisis avec les communautés rurales et les structures de développement pour mener des actions communes de développement des populations locales. Les principaux types de climats et de végétation n’existant pas en Côte d’Ivoire mais plutôt dans certains des pays partenaires du CCBAD complèteront la liste des sites d’observations et d’activités dans le cadre du CCBAD. Ainsi, les pays comme le Sénégal, le Burkina Faso et le Niger pourront abriter des sites annexes de recherche et d’activités du CCBAD.

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